Si vous êtes actuellement entre le Cosmos et... Paris.
Jusqu'à demain 19h30, créatrices et vintage addicts investissent un loft de 200 m2 du côté d'Oberkampf. Programmé le dernier week end du mois, le Pop Up Store fonctionne sur le principe d'une boutique éphémère : on y retrouve aussi bien des jeunes pousses créatives que des grandes marques moins confidentielles.
Je vous conseille fortement le corner investi par le très bon shop Vintage Flavour. L'occasion rêvée de s'équiper en exclu d'un casque UrbanEars (adaptable sur les phones grâce au micro, solide et pliable, décliné en de très jolies couleurs...il a tout bon !).
Styliste et street artiste, Cécile Maussang alias BLA y tient également un stand accompagnée par son crew -Le Coktail- venu égayer les murs... Vous pourrez savourer son interview et découvrir son univers dès la semaine prochaine ici même. Stay Connected !
POP UP STORE 113 rue Saint Maur Paris 11ème Métro : Saint Maur ou Parmentier Horaires Sam 30 : 11h00 - 20h30 Dim 31 : 12h00 - 19h30
Reebok Freestyle Glen Green, White stripes. Très Ramasseuse de balles Old school à Roland Garros. 38 Jamais portées, vous attendent sagement dans leur boîte. 40€ + FDP
Le mois de janvier bien entamé, vous remarquerez qu'il fait froid, très froid même. À l'heure où j'écris, il fait -1°C à Berlin, 3°C à Paris et -38°C à Fort Yukon, en Alaska (Ce décrochage météo vous a été offert par les surgelés Picard). Mais restons positif : l'hiver offre l'occasion de nous déguiser en Bibendum sans que cela ne choque personne ! Attention tout de même à ne pas laisser le confort prendre trop souvent le pas sur l'esthétisme, les conséquences sur votre look pourraient être désastreuses (cf. les chaussettes de montagnes à motifs caribous, aussi laides que réconfortantes --> poubelle) ! Alors, on se reprend et on se jette sur mon gros gros GROS coup de coeur du moment, voire mon coup de coeur de TOUT l'hiver 2009/2010 : GOLDEN HOOK.
Le concept est un condensé absolu de simplicité allié à une bonne dose de génie !
ETAPE 1 : il suffit de se connecter sur le site www.goldenhook.fr, de choisir son modèle (bonnet, écharpe ou snood), de choisir sa matière (laine, angora, alpaga ou cashmere) de créer celui-ci bande par bande d'après les couleurs proposées
ETAPE 2 : Choisir la grand-mère qui tricotera votre création avec amour, de ses petites mains habiles. Et là, à chacun de trouver sa petite fée tricoteuse entre Ginette, Elisabeth, Simone et les autres mamies tricots !
ETAPE 3 : Un petit coursier va préparer les pelotes de couleur et imprimer le croquis de votre bonnet, l'apporter au domicile de notre "Mamie provisoire" qui tricotera notre petit bonnet installée dans son fauteuil en velours devant la dernière saison de Plus Belle La Vie.
Et c'est là toute la force de ce concept ... Solidaire et intergénérationnel... Les mamies peuvent ainsi étoffer leur petite retraite avec quelques euros supplémentaires et se faire plaisir en cette période de sécheresse financière
Tendance.... Incroyable mais vrai : le tricot est devenu hype ! On est en droit de se demander alors à quand des apéro-points de croix et des afters-numéros d'art. Et encore ! Golden Hook n'est encore qu'une graine prête à germer... On murmure qu'une styliste a rejoint l'équipe. Séries limitées, collaborations et créations en tout genre devraient bientôt fleurir dans quelques boutiques de la capitale et sur Internet.
Ethique... De la laine sourcée en France, des petites mamies 100% bio et derrière le concept, un jeune chef d'entreprise qui en a tricoté des bonnets avant d'en arriver là et qui a mis du coeur dans son projet.
Orchestré depuis quelques mois par Lisa Gachet et Camille Grosperrin, le « hold-up du sous-bois » c’est le plan gentiment machiavélique de 2 jeunes créatrices prêtes à dynamiter l’univers de la mode enfantine. Cool ! On commençait presque à se lasser des couleurs pastels, des princesses aux sourires niais et des faons trop mignons pour être crédibles. Et si Bambi était bel et bien un activiste rebelle de l’underground ou un mafieux régnant sur les sous-bois malfamés ?
Il s’agit bien là d’une piste encore inexplorée- voire quasi avant-gardiste- à l’image de leurs créations qui mêlent illustrations réalistes et poésie de l’enfance. Le mélange du coup de crayon habile de Camille et de l’approche artistique de la matière, du tissu de Lisa est d’abord surprenant, puis vraiment attachant, tout comme leur univers de conte façon western moderne.
Pour percer un peu le secret du monde à la fois romantique et torturé de Bandit Bambi, j’ai pris contact avec Lisa Gachet, une des deux initiatrices du projet. À tout juste 21 ans, Lisa possède déjà le talent, la maturité et le déterminisme d’une grande, tout en revendiquant son côté adulescent à tendance syndrome de Peter Pan. Il faut bien avouer que toutes ces qualités forcent un peu l’admiration, surtout quand on découvre qu’en plus d’être jolie et bourrée de talent, elle porte la coolitude en elle. Une telle nana se devait de faire l’objet de ma première interview sur ce blog ! Alors, avant qu’elle soit trop débordée pour répondre à mes messages facebook, j’ai profité de son passage à Bordeaux (ville dont elle est originaire) pour la rencontrer juste après Noël. Ci-dessous, je vous livre donc en détails les brides de nos conversations surexcitées de jeunes filles, autour d’un Bic 4 couleurs (édition limitée « couleurs folles »), d’un thé vanille-caramel (hyper bon) et d’un Blackberry (qui ne perdit aucunes miettes de notre entrevue, merci à lui).
Alors dis moi Lisa, depuis quand t’intéresses-tu aux chiffons, à la couture, à la mode ?
Depuis toujours. Déjà toute petite, j’étais un véritable dictateur sur la façon dont ma mère devait m’habiller. Je disais à tout le monde que je voulais être architecte d’intérieur. Ce n’est qu’au moment de formuler mes vœux que j’ai surpris tout le monde en choisissant de postuler pour l’école Duperré à Paris.
Que bricolais-tu petite ? Te souviens-tu de ta première création ?
Je fabriquais des bagues ! Ma mère les trouvait géniales… Perso, aujourd’hui je les trouve hideuses ! Je n’étais pas vieille à cette époque, j’avais 8 ans… En fait, j’ai toujours fabriqué, ne serait-ce que tous mes cadeaux de Noël ! J’étais une inconditionnelle de l’émission Art Attack sur Disney Channel, je rendais fous mes parents avec ça. Fallait les enregistrer et tout…
Tes parents ont-il un métier en rapport avec la mode ou le milieu artistique ?
Mon père est prof de sport et ma mère greffière à l’ordre des medecins…Autant dire qu’on pourrait se demander si je ne suis pas la fille du facteur ! (laughings) Malgré le fait que je sois un peu l’ovni de la famille, ils m’ont toujours fait confiance et encouragé.
Un peu plus tard, tu as crée une collection de bijoux baptisée Bidiou&CO. Peux tu nous en parler ?
Je me souviens plus d’où c’est parti exactement… mais j’ai toujours eu une passion pour ce qui est régressif. J’avais trouvé des petits dinosaures de 3 cm en plastique, j’ai commencé à les percer et à les recouvrir de paillettes. Sous l’impulsion de Anne de la boutique RKR à Bordeaux, j’avais quand même réalisé une collection complète à l’aide de petits objets chinés comme des cadres de montres anciennes par exemple. Expérimenter de nouveaux procédés pour faire les bijoux me plaisait bien, mais j’avais envie de faire autre chose de plus original peut être…
Comment s’est faite la rencontre avec Camille Grosperrin ?
Camille était en BTS Design de mode option textile dans la même école que moi, mais on ne s’est adressé la parole que le dernier jour des cours, le jour des entretiens pour la licence. Étant donné que nos noms commence tous les 2 par la même lettre, les horaires coïncidaient. On s’est montré nos travaux respectifs et là ce fut le coup de foudre réciproque. L’envie de travailler ensemble est venue naturellement ensuite.
Comment avez-vous lancé Bandit Bambi ? Quel a été le déclic ?
Et bien justement, on s’est vu offrir une magnifique opportunité. Chloé, la créatrice de la marque Stinkerbutt (ndlr, pour laquelle elle travaille régulièrement) a vu notre travail et nous a proposé d’exposer sur son stand au salon Maison & Objet. Elle voulait que son espace soit celui d’un collectif de jeunes créateurs. J’ai donc appelé Camille (en décembre 2008) pour lui annoncer qu’une occasion en or se présentait à nous. Elle a trouvé ça génial en pensant qu’il s’agissait de l’édition de novembre 2009. Elle a vite déchantée quand elle a compris que nous devions être prêtes en un mois !
Comment travaillez-vous justement et comment vous répartissez-vous les rôles ?
Camille est aux Arts Déco de Strasbourg. On correspond par mail, on s’appelle et elle descend pas mal sur Paris. Elle réalise tous les dessins, les aplats et je travaille sur le volume, je détermine où placer ses illustrations et je rédige aussi les fiches techniques. Pour le côté administratif, on met un peu toutes les deux la main à la patte… S’associer avec quelqu’un, c’est une force. On se motive l’une et l’autre, c’est un excellent moteur pour la création aussi.
On a surfé sur la tendance du faon, du conte et de tout ce qui a un côté « mignon ». Sauf que notre philosophie, c’est d’être mignon mais pas trop (pas nian-nian et encore moins cul-cul !).
Justement, pourquoi tant de violence dans l’univers de Bambi ? On l’imaginait peuplé de fleurs et de petits oiseaux, c’est plutôt western, gun et moto. Pur cassage de mythe ?
Un peu ! Il y a quelque chose d’un peu ambivalent chez Bambi Bandit… On s’imprégne de notre univers d’adulescent… Je pense qu’on assume totalement notre côté régressif et que cela nous inspire pour l’univers de Bandit Bambi.
Mais d’où te viens cette obsession pour les faons ?
C’est assez bizarre… À la base, j’ai demandé à Camille de me faire un logo pour Bidiou&Co, une tête de faon empaillé, un truc un peu morbide mais mignon quand même. Je suis partie là dessus et après, va savoir pourquoi, je suis devenue complètement obnubilée par les faons et je suis devenue obsédée par le sous-bois ( ☺).
Et camille du coup aussi ?
Ahah, c’est horrible ce que je vais dire. Camille aussi adore les animaux, je dirais même que Camille aime les poils (je demi-fronce un sourcil de stupeur !!). Elle dessine trait par trait le pelage et vient ensuite tracer les contours. Son travail est assez dingue, pour moi cette meuf est un génie sur pattes.
Vous réalisez aussi une collection de vêtements en parallèle…
Oui, on prévoit une collection de vêtements pour enfants de 4 ans à 10 ans que l’on présentera en exclusivité au salon Playtime (ndlr, salon dédié à l’univers de l’enfant. Prochaine édition du 30 janvier au 1er février). Pour cette saison, on est parti sur le thème du cirque. J’ai dessiné une veste de dompteur de tigre rouge et noire, qui existe aussi en noir et doré (elle me montre la fameuse veste en photo sur son iphone) J’aime que le vêtement ressemble à un costume mais sans le côté cheap. On a soigné les matières, la coupe, les finitions pour en faire une belle pièce. Je pense que c’est important d’habiller les enfants de façon ludique et non de les saper comme des mini-adultes ! À la rigueur, on serait plus pour la démarche inverse : faire des vêtements pour enfants et les créer ensuite en version adulte.
Comment vois-tu l’évolution de l’univers de Bandit Bambi ?
On voudrait arriver à faire une collection par an et pas mal de séries limitées vêtements et accessoires en variant les thèmes. À l’avenir, je pense qu’on affirmera plus la face obscure, voire Rock’n’roll de Bandit Bambi, quitte à perdre certains clients qui ne se retrouveront plus dans cet univers.
Qu’est ce qui se cache dans les méandres de votre imagination ? Qu’est-ce qui vous inspire ?
Pour le thème du cirque, on a fait un brainstorming de mots. Camille a souvent des idées bien tordues. Là, elle voulait dessiner sur un blouson en jean un homme-canon, avec un cercle de feu, un truc bien kitch quoi. Le cirque est un thème récurrent chez les enfants. À partir de ça, nous avons imaginé une touche décalée pour notre collection, Camille a commencé à dessiner des enfants habillés très bon chic, bon genre avec des têtes de lions ou d’autres animaux du cirque…
Quels rapports as-tu justement avec les enfants ?
J’ai un super feeling avec eux. J’ai 2 nièces et la plus jeune d’entre-elles qui a 6 ans est un peu ma muse ! Mes prototypes je les réalise en 6 ans pour lui essayer mes créations. Je garde aussi des enfants, c’est un de mes 3 jobs du moment !
Peux-tu nous citer quelques marques de mode enfantine pour lesquelles tu as eu un coup de cœur ?
J’aime beaucoup Lalé, ils font des imprimés vraiment craquants. Je suis fan de leurs petites valisettes en tissus ! Je trouve aussi les créations de la marque Loppa cool. Et la marque que j’adore plus que tout, j’allais l’oublier mais elle est incontournable, c’est Bugg..Euh, je suis incapable de te dire le nom en fait. C’est une marque hollandaise, qui se surnomme BB++ disponible sur le site petithood.com (ndlr, il s’agit de la marque Buisjes en Beugels, d’origine hollandaise…d’où le nom imprononçable !) !
Quelles sont tes pièces préférés dans votre collection ?
Dans l’actuelle, j’aime beaucoup le doudou faon, le carnet santiag et le coussin berlingot qu’on a prévu de recustomiser dans la prochaine collection (avec des losanges en all-over ou alors toutes les illustrations mises dans tous les sens). Dans la collection à venir, je suis impatiente de présenter la veste dompteur de tigre ! Même mon coloc la veut à sa taille…
Pour toi la consécration, ce serait…
Ce serait travailler dans une maison de couture en parallèle de Bandit Bambi, et d’avoir un article dans le ELLE, dans les pages des must-haves au début du magazine !
Alors, c’est tout le mal que je te souhaite Lisa : bonne route à toi, ainsi qu’à Camille et bon hold-up à Bandit Bambi dont voici le site internet ----->Bandit Bambi's Website
En 2010, j’aimerai bien laisser tomber le shopping bag et m’acheter un vrai sac à main en cuir ! Sinon… j’aurais une grosse grosse envie de pirate boots, de chez Vivienne Westwood !! Mais là, va falloir que j’économise un peu !
Tes adresses ?
.....à BORDEAUX
Boutique pour enfants/ Mistral Gagnant (photo), 11 rue Sicard (Chartrons)
Café/bar/le Milo’s, 21 rue du Parlement Saint-Pierre (Saint-Pierre)
Déjeuner/ L’Autre salon de thé, 11 rue des Remparts (Gambetta/Pey Berland)
.....à PARIS
Mode/ Vostik, 16 rue Dupetit-Thouars (3ème arr.)
Librairie/ OFR, 20 rue Dupetit-Thouars (3ème arr.)
Boutique enfants/ Bonton Bazar, 122 rue du Bac (7ème arr.)
Kid Cudi feat. Lady Gaga, Common, Kanye West– Poke her face
Ian Brown - Set My Baby Free
Tes éco-gestes ?
J’ai toujours du papier recyclé dans mon imprimante, je recycle mes piles et j'éteins systématiquement le robinet quand je me brosse les dents.
Ton péché mignon ?
Le Big Mac : je me demande souvent s’il ne mette pas de l’héroïne dans la sauce ! Et puis toute la Junk Food en général… (La preuve en images ! ci-dessous)
Ta spécialité culinaire ?
Les cupcakes à la framboise ou à la banane. Je ne suis pas loin d’atteindre la perfection du glaçage…Enfin, j’y travaille !
Ton péché régressif ?
(hésitation…) Allez, j’assume : la Blédi à la vanille. Tellement bon !
Ta geekerie ?
Mes 22 heures quotidiennes sur Facebook. Avec mes copines, on a une passion pour les groupes débiles, auxquels on adhère évidemment ! Mon dernier en date ? « Pour ceux qui prennent leur douche nu ! » Un must ! (rires)
Ton prochain voyage ?
Je suis allée à New York il y a un an, je pense que cette année je vais partir en Inde en Août et puis à Londres, où je n’ai encore jamais mis les pieds !!
Thanx to Lisa Gachet Crédits photos : Pierre Lucet Penato, Candide
Ayant fait preuve d’une patience quasi bouddhique pour dénicher ce qui pourrait être la version pratique et féminine du sticker chéri des graffeurs (dont le credo est -je le rappelle- "mon blaze, oh oui mon blaze partout, là, là et puis là aussi !!"), laissez moi vous présenter Le Hello My Name Is Bag aka HMNI ... Le Sac Flavor x Porter.
Depuis 1961, la marque japonaise Porter fabrique des sacs, housses de laptops et même des porte-monnaies à partir de matières naturelles ou recyclables.
Leurs modèles - hors collaborations diverses car ils les collectionnent !- se qualifient par leur style épuré : design sobre et couleurs basiques de rigueur. On applaudit alors l’audace d’une telle explosion de couleurs et motifs criards. Oh oui, on aime ce sac HMNI car impossible de passer inaperçu avec ! Et quand on a un mec qui possède des markers à la place des doigts (comme c’est mon cas héhé), on se surprend à rêver de sortir avec son sac personnalisé, home-customisé. L’orgasme !
Pour les autres, rassurez-vous, je me suis assurée que les japonais customisent aussi... pour vous !
Personnellement, parmi les modèles proposés, je penche pour le rouge, fidèle au sticker original. Le vrai clin d’œil à son origine ! (Comptez environ 10500 Yens le Grand modèle soit 79€ et 38€ le Petit)
Autre coup de coeur, le coussin assorti que l'on offre volontiers à son fidèle animal de compagnie (même s'il n'aura pas l'air de réaliser l'investissement représenté par cette nouvelle literie dernier cri, en coton organique qui plus est).
Pour découvrir tous ces trésors, rendez-vous ICI !
Mais bon ok, là je suis pas très cool avec vous… Va falloir dénicher un ami jap’ au plus vite ou alors engloutir une boite de Spedifen 3500 pour pouvoir assouvir son désir fashionistique, car le site est en nippon exclusivement !
Helvetica, Avant Garde, RGB ou encore Pomme Z = du vocabulaire de geek certes, mais aussi des termes fréquemment employés par nos amis graphistes. L'idée est venue à Jen, un graphic designer basé à L.A d'en faire des bling blings. So Geype* !
(*mix de Geek & de Hype)
Ses créations, réalisées à base de découpe de verre acrylique coloré, sont vendues sur l'excellent site Etsyqui regorge de trouvailles "handmade". Baptisée "Plastique", la marque y propose aussi des bling blings K7 ou ghettoblasters ainsi que des bagues ornées de mini-platines vinyles (on en mangerait !). Etant donné que le site vous met direct en relation avec le créateur, vous pouvez même gentiment lui demander de personnaliser votre "brille brille" comme on dit chez nous. Quant aux prix, ils avoisinent les 20$ pour un collier... Life in Plastique ? It's fantastic !!
En plus, en ce moment c'est les New Years Sale, HERE !
Kleid(er)- Deustch =vêtements, habits, sapes, fringues, guenilles, objets de tissus ou fibres synthétiques utilisés pour se protéger, se la péter ou respecter les conventions tribales et sociales.
B&K, c'est....
.........un blog à la fois futile mais profond, spontané et tout à fait réfléchi, dans une démarche éco-responsable. Un blog où paires de baskets et fringues old school côtoient interviews, portraits et coups de cœurs geekistiques. De l’orgasme codé en html en quelque sorte.
Ps : B&K accepte les cadeaux, les paiements (ou dons) Paypal et même les insultes. Be generous !
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